Sur la route de Monaco en ancienne...

Sortie nationale du RAC-EGF à Menton et sa région du 9 au 15 mai 2016.

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samedi, mai 14 2016

Destination passion !

Samedi 14 mai 2016.
Nous abandonnons une nouvelle fois nos voitures pour passer la journée au 10e Grand Prix de Monaco Historique. En haut de la tribune K du quai Albert 1er, bien placés après une ligne droite dans un virage et face aux yachts majoritairement anglais dont les propriétaires brunchent, les pauvres... Il fait beau et chaud. Sept séries se succèdent sur le circuit d'environ 3 km qui serpente dans la ville (les bouchons d'oreilles s'imposent) : voitures de Grand Prix de Formule 1 de 1973 à 1976, de 1966 à 1972, de 1961 à 1965 et avant 1961 ; voitures de Formule junior de 1958 à 1960 ; voitures de sport de 1952 à 1955 et voitures de Grand Prix d'avant-guerre. 1929, c'est l'année du premier Grand Prix de F1 de Monaco.

Dans la série F, Anthony Beltoise court sur la Matra MS 120 que son père, Jean-Pierre, pilotait en 1970. Puis, les vétérantes d'avant-guerre font leur show, les bouchons d'oreilles sont moins nécessaires... La numéro 16 fume et finit son tour sur un plateau. Vers midi, Jacky Ickx participe à la parade Chopard sur une F1 de 1962.

Nous prenons le panier-repas préparé par l'hôtel, avant la parade des 50 voitures du Crédit suisse et la plupart des participants s'éparpillent qui pour visiter le palais princier qui pour vagabonder à travers les camelots. Tiens, on voit assez bien le circuit depuis le parvis du palais. A la finale, tout ce petit monde reprend le train de Menton. Il ne faut pas rater la remise des trophées à 21 heures. Damned, il pleut à Menton.

Vers 19 heures, presque toute la troupe se retrouve au bar, dernier jour oblige. Jacky nous rejoint à 20 heures avec du vin de citron et du rhum arrangé. Nous allons dîner rapidement avant que le restaurant ne ferme. Des sets de table ont été confectionnés pour l'occasion. A la fin du repas, le limoncello (recette de Jacky) nous réjouit les papilles. Et puis, beaucoup plus tard, ce sont les remerciements et la remise des cadeaux. Claude offre à Jacky une Porsche en métal sur tableau. Chacun reçoit un porte-clef et une pendule aux couleurs de son automobile et des cadeaux des sponsors de la délégation Menton-Nice-Paca. Cerise sur le gâteau, Jacky livre les quelque 100 kilos de citrons de Menton que nous lui avons commandés. Lui en restera-t-il ?

Nous ne pouvons que remercier les Mentonnais d'avoir organisé cette belle semaine et de nous avoir fait découvrir leur région. Nous faire plaisir a été leur leitmotiv !

vendredi, mai 13 2016

Le circuit Bugatti

Vendredi 13 mai 2016.
Par la fenêtre, le ciel est... mitigé, il hésite entre pluie et grand bleu. 16 degrés à 9 heures, mais j'entends qu'on parle de neige au col de Turini ! Pour l'heure, nous prenons la direction de Sospel à une vingtaine de kilomètres sans passer par le col. Tout va très bien, madame la marquise, mais on déplore un tout petit rien, l'Austin ne veut pas démarrer.

On se gare sur le parking du village réservé par arrêté communal. Nos pas nous conduisent sur la grande place pavée de la cathédrale Saint-Michel construite de 1641 à 1762 sous vœu de la population à la suite d'une épidémie de peste. Inattendue ici, elle renferme des trésors de style baroque, mais n'est plus cathédrale officielle depuis 1802 lorsque Sospel passa du diocèse de Vintimille à celui de Nice. Puis nous passons sur le Pont vieux enjambant la Bévéra, ancien pont à péage de la frontière, pour entrer dans la bourgade aux ruelles étroites.

A 11 heures, nous prenons la route sinueuse du rallye de Monte-Carlo. Une petite photo des lacets mythiques au col de Braus à 1 002 m d'altitude puis on bifurque vers le col de Turini à environ 25 km de là. La route est ouverte du 1er mai au 30 septembre. Un, deux, trois lacets et ça tourne... Roulez manège. On aperçoit les sommets enneigés derrière les grands sapins et les quelques chalets qui bordent la route.

A 12 h 30, nous débouchons face à l'hôtel des trois vallées au col de Turini situé à 1 607 m d'altitude dans le parc national du Mercantour, hôtel-restaurant dont les murs sont tapissés de plaques et de photos du rallye. Au bœuf bourguignon, trois Bugatti stationnent et attirent nos appareils-photos. 1 000 chevaux (un permis est nécessaire pour rouler au-dessus du bridage à 750 chevaux), plus d'un million... Un jeune Anglais fait la photo du groupe, les chemises blanches devant (cachez-nous ces taches de sauce que nous ne saurions voir !).

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A 14 h 15, départ pour une boucle d'une heure par le champ de bataille de l'Authion où nous nous arrêtons pour regarder les ruines. Puis le chemin à vaches continue. A 1 960 m d'altitude, au site de la Redoute, on capote car il pleut bien. Il y a de la neige sur le bord de la route et dans les ravines. A partir de là, on roule prudemment car la piste est parsemée de trous. Les voitures touchent... L'Alpine de Bernard chauffe. Mais que c'est beau !

De retour au col de Turini, on redescend par Moulinet à Sospel ; cette fois, la route est plus large mais tourne toujours autant. On remonte vers le col de Bruis pour redescendre à l'écomusée du Haut Pays et des Transports hébergé dans la gare de Breil-sur-Roya où nous arrivons à 16 h 45.

Au musée, un bijou : un autorail X 2804 unifié de 825 chevaux, propriété de la SNCF, qui fonctionne toujours (6 583 202 km en 50 ans de carrière). 119 de ces autorails en livrée bleue commandés dès 1955, ont été livrés à la SNCF. Le musée retrace l'histoire de la voie ferrée du col de Tende qui a la particularité d'avoir 4 boucles hélicoïdales. Il s'agit en fait de deux lignes, Nice - Coni et Vintimille - Coni, se rejoignant à Breil. A l'intérieur, une locomotive à vapeur 141R 1108, chauffée au fuel. 1 340 de ces locomotives ont été construites pour la France en 1945 aux USA. Et enfin, les enfants s'amusent avec la maquette de trains au 1er étage.

A 18 heures, nous rentrons au bercail à 35 km par la route de Vintimille, la plus directe. Les pilotes sont éreintés, les co-pilotes aussi... à se cramponner.

jeudi, mai 12 2016

Abbracci gratis...

Jeudi 12 mai 2016.
Par la fenêtre du restaurant au petit déjeuner, le ciel est plus dégagé. 15 degrés à 8 h 30. En route pour Sanremo en Italie... Stéphane nous y conduit en car.
- Aujourd'hui, c'est la sortie du troisième âge, annonce Jean-Noël.
Nous sommes gentils, nous laissons les anciennes se reposer des intempéries d'hier.

Lâchés vers 9 heures devant le casino de Sanremo, nous marchons vers le port et dans la vieille ville, enfin nous montons et nous descendons les ruelles pavées très étroites et les escaliers en pierres usées où les maisons sont tenues entre elles par des arcs-boutants. Voitures interdites, elles ne passeraient pas.

A 11 heures, nous reprenons le car pour le marché aux fripes de Bordighera dressé sur la promenade le long de la plage et prenant les rafales de vent en plein dans les étals. C'est un marché hebdomadaire tous les jeudis matin, ça tombe à pic... La promenade parmi les stands est agréable.

A 13 heures, vers le déjeuner Stéphane nous conduit. Le temps se couvre. Le Sushi Fan ristorante de Camporosso nous attend. Inattendu dans une zone commerciale, c'est un buffet typiquement italien 😇, excellent quoiqu'un peu bruyant.

A 15 heures, il tombe des gouttes d'eau... douce à Dolceacqua, village médiéval à la frontière italienne. On se balade à travers les vieilles ruelles en pierre jusqu'au château tout en haut du village tout en s'arrêtant devant les galeries d'art. En bas, une petite rivière serpente.

A 16 heures, il tombe des bouteilles d'alcool à Ventimiglia (Vintimille) à une dizaine de kilomètres de Menton. Pas de marché aujourd'hui, mais les boutiques sont assez nombreuses pour y trouver son bonheur. Le temps de nouveau ensoleillé s'y prête.

A 17 heures, nous retrouvons notre car et à la frontière, nos gendarmes, ceux qui logent à l'Orangeraie avec nous et qui sont là en renfort pour réguler l'entrée des migrants, montent dans le car pour nous contrôler. Nous reconnaissant, ils n'insistent pas !

Un belle journée, on pensait retourner à Sainte-Agnès faire les photos des autos que nous devions faire hier, mais nous avons préféré continuer nos visites et nos achats... Nous avons bien fait, cela valait le détour.

mercredi, mai 11 2016

Mentone italiana

Mercredi 11 mai 2016.
C'est bien mouillé. 17 degrés à 9 heures et il pleut toujours. En route pour la Turbie sous de gros nuages noirs et... la capote.

10 heures, le trophée des Alpes et la guide nous attendent. Une belle averse et un brouillard à couper au couteau aussi... On se réfugie au musée au sec devant la maquette du trophée. Ce monument historique, érigé en l'an 6 avant J.-C. sur décision du sénat et du peuple romain, célèbre la victoire d'Auguste, empereur romain, fils adoptif de César, sur les peuplades alpines. Sa situation est stratégique, au point le plus haut de la via Julia Augusta reliant Rome à Cadix en Espagne, sur les hauteurs de la Riviera française. Le morceau de bravoure est l'inscription dédicatoire monumentale restituée grâce aux écrits de Pline ; les peuples vaincus y sont énumérés, on suppose, dans l'ordre géographique. La reconstruction du monument est en partie due aux Formigé, père et fils, dès 1913 grâce à des subventions publiques puis aux fonds du milliardaire américain, Edward Tuck, dans les années 1930.

11 h 20, les feux anti-brouillard balisent la route étroite en lacets vers Sainte-Agnès, le plus haut village côtier d'Europe. On passe le col de la madone sans s'arrêter pour finalement atterrir au Saint-Yves et sa vue panoramique - enfin, paraît-il ! Nous déjeunons frugalement... une assiette de charcuterie, une tourte de courges "maison", des raviolis à la bourrache, du lapin aux herbes, une daube de sanglier, des frites, une tarte aux myrtilles, un café et limoncello pour tous. Comme hier, un service et un accueil très agréables et conviviaux. Bonjour les kilos... Les sucs digestifs font leur effet.

15 heures, visite du fort de Sainte-Agnès, ouvrage militaire sur la ligne Maginot de 1932 à 1938 construit comme 22 autres pour protéger la région des attaques de Mussolini grâce à 85 000 hommes.
Quatre ans pour creuser dans la roche les 2 000 m2 du fort de Sainte-Agnès, véritable cité souterraine. Une entreprise extraordinaire : 350 - 400 hommes de 30 à 40 ans et du cru. 18 degrés toute l'année grâce à un traitement de l'air efficace et écologique, nouveau pour l'époque. Une cuisine. Une centrale électrique équipée de 3 moteurs diesel marins. Des yeux et des oreilles grâce à des tourelles et des périscopes et un service de renseignements. Des latrines d'une hygiène redoutable. Des réserves de 90 000 litres d'eau grâce à une source naturelle contrôlée par l'armée. 24 soldats par chambre de troupe où le chauffage est régulé grâce à un diaphragme. Des lavabos pour les douches et le blanchissage. Un atelier d'outillage pour le génie. Un sas pour compartimenter les secteurs de vie et les munitions, comme dans un sous-marin. Quatre casemates ou logements des armes lourdes et mortiers dans la partie bétonnée.
Le fort a été racheté par la commune en 1990 pour 150 000 euros pour en faire un musée et un lieu de mémoire.

16 h 30, pluie et brouillard... Descente sans visibilité. Arrivés à l'hôtel, quelques durs à l'eau suivent Jacky et vont faire un tour dans Menton a l'affût de la fameuse liqueur de citron !

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mardi, mai 10 2016

A l'Eze, Blaise !

Mardi 10 mai 2016.
18 degrés à 8 h 30, ciel bleu, petites robes, c'est parti pour Monaco... Nous perdons un peu de temps à prendre de l'essence - du 98 pour les bijoux - et nous voilà en route.

Arrivées à Roquebrune-Cap-Martin, les anciennes se garent au fond du parking du Country Club sur le sentier des douaniers près du restaurant gourmand la DifférAnce où nous déjeunerons.

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Nous commençons le grand tour de Monaco à 10 heures. On part à la découverte de la principauté, lieu magique et prestigieux, et de ses points de vue magnifiques en bus touristique à étage : le rocher, Fontvieille, Monte-Carlo, le palais princier, la cathédrale, les villas d'exception, les parcs fleuris, les Ferrari, les yachts et puis... le circuit et les gradins éphémères dans la ville pour le Grand Prix Historique de dimanche. Pas une ambiance de kermesse, pas chez ces gens-là, mais tout de même l'effervescence est latente. La course des anciennes emprunte le même circuit urbain que le Grand Prix qui a lieu deux semaines après, les riverains en ont pour trois semaines de galère...
Sur la place du palais princier, nous attendons pour assister à la relève de la garde à 11 h 55 très précises. Plutôt folkloriques et anachroniques, ces carabiniers vêtus de noir faisant leur spectacle réglé comme du papier à musique !

A 13 heures, un déjeuner succulent nous attend sur une terrasse surplombant la mer. Au menu, de la pélamide, souvent appelée bonite. Au dessert, Walter est cravaté pour son anniversaire devant un fondant au chocolat. Un bon moment.

15 h 30, nous reprenons les voitures, direction Eze-Village tout en haut de la corniche pour visiter la parfumerie Fragonard créée en 1926 à Grasse. L'usine laboratoire d'Eze date de 1968 et s'occupe des cosmétiques. Trois sœurs dirigent la société.
Le parfum s'obtient par extraction des huiles essentielles des fleurs de Grasse ou des produits importés dont le citron. Et oui, celui de Menton est trop odorant... Deux méthodes : distillation à la vapeur ou extraction par solvants volatils. Pour bien distiller, il faut 300 kg de pétales de fleurs et de l'eau chauffée à 100 degrés, le tout refroidi à -5 degrés. Pour obtenir 1 litre d'huile essentielle, l'alambic réclame par exemple, 3 tonnes 1/2 de pétales de roses ou 5 tonnes de rhizomes d'iris, l'or bleu des parfumeurs.
Essentiel dans le métier, un nez différencie 2 000 essences différentes, il n'y a que 50 nez au monde.
Les parfums sont conditionnés en bouteilles métalliques appelées estagnons.

Puis guidés par l'Opel GTE de Claude, le rallyman, nous grimpons au col d'Eze en passant par Saint-Michel, commune de Villefranche-sur-Mer. Ça tourne et ça vire. Mal de coeur, vertige et beaux points de vue assurés avec la Méditerranée et les Alpes en lignes de mire.

Une bien belle journée se termine et nous rentrons au bercail par la Turbie vers 19 heures. Brigitte et Gérard sont arrivés mais sans la Citroën DS qu'ils ont laissée au garagiste. 

lundi, mai 9 2016

Alpine in the rain...

Lundi matin, la Renault Alpine blanche de Claudine et Daniel, l'Alpine rouge de Laurence et Pascal, la Chasseing de Françoise et Jean-Jacques et la Mercedes de Catherine et Gérard partent d'Orliénas près de Lyon à 7 h 30. Elles rejoignent l'Alpine noire de Françoise et Bruno aux 7 chemins à 2 encablures.

8 heures au péage de Vienne sur l'A7, elles récupèrent l'Alpine noire de Delphine et Walter. Elles retrouvent l'Alpine jaune de Catherine et Guy (ça commence à faire beaucoup...) qui s'était "perdue dans la montagne", sur une aire plus loin ainsi que l'Alpine blanche qui avait filé tout droit. Vous suivez ?

10 heures sur l'aire de Morières-lès-Avignon, on récupère la Porsche 944 (ça change !) de Annie et Hervé. Petit déjeuner, café et viennoiseries. Tout roule... entre deux averses.

12 h 20 sur l'aire de l'Estérel à 80 km de l'arrivée, nous retrouvons l'Austin Mini de Mélody et Florian et nous grignotons sur le pouce et les tables de la Croissanterie.

14 heures dans le parking de l'Intermarché de Menton, nous nous regroupons avec les autres voitures déjà arrivées sous la houlette de Jacky et autour d'un verre au café Papaye.

15 heures, les choses sérieuses commencent au domaine de la Citronneraie qui produit 10 tonnes de citrons naturels - pas bio - de décembre à fin avril. François Mazet, l'ancien coureur automobile, le propriétaire, nous raconte que Menton compte 3 500 citronniers dont 450 dans la propriété. Les températures y sont resserrées : l'hiver de 7 à 12 degrés et l'été de 18 à 28 degrés. Orienté face au soleil levant et situé dans la vallée, le jardin extraordinaire bénéficie d'un climat quasi tropical. Dans le parc, un Ginkgo près de la fontaine et des Cycas autour de la piscine, les deux derniers témoins de la fin de la préhistorique.
Et le fameux citron ?
La gestation de la fleur au fruit dure de 7 à 9 mois. Les citronniers sont adultes à 12 ans et ils ne poussent plus. Ils sont originaires d'Asie du Sud-Est tout comme l'orange amère et d'autres agrumes.

17 heures, l'Orangeraie nous accueille dans son joli cadre Belle époque en plein centre-ville. Tout le monde est content même les autos qui ont leur parking couvert. Briefing, pot de l'amitié et tiens, ce soir une soirée dansante nous attend ! On y va ?
Alpine in the rain
What a glorious feeling
I am happy again

mardi, mai 3 2016

Menton et sa région

Arrivée prévue le lundi 9 mai après-midi, logement en demi-pension à l’hôtel-club*** Vacanciel qui se trouve à 400 m de la plage et 700 m de la gare ferroviaire, en plein centre de Menton.
En fin de journée, il est possible de visiter La Citronneraie appartenant à l'ancien pilote automobile, François Mazet.

Le soir, dîner à l’hôtel et visite de Menton by night !

Mardi 10 mai : direction Monaco en voiture pour la visite du musée automobile du prince (durée de la visite environ 1 heure 15), puis direction le palais princier avec la relève de la garde à 12 heures (parking à la charge des participants : 14 € par voiture).

MUSEE DE L'AUTOMOBILE DE MONACO
Passionné d'automobiles, le prince Rainier III a constitué pendant plus de trente ans, au gré des occasions et de « coups de cœur », une importante collection personnelle de voitures anciennes. Il a ainsi rassemblé et fait restaurer quelque 100 véhicules, large échantillon des modèles construits par les plus illustres firmes européennes et américaines et qui, à divers titres, ont marqué leur époque.

Repas au restaurant La Différance vers 13 heures.

L'après-midi, direction Eze en voiture avec visite de la parfumerie Fragonard.

Le soir, dîner à l'hôtel.

Mercredi 11 mai : journée en Italie en bus, visite de Vintimille, de Bordighera et si possible de Sanremo.
Déjeuner au restaurant.
L’après-midi, visite du village de Dolce Acqua.

Jeudi 12 mai : direction le village de la Turbie avec la visite du trophée d’Auguste pour ceux qui veulent, ensuite nous prendrons la direction du col de la Madone et nous arriverons à Sainte-Agnès, le plus haut village littoral d’Europe.
Visite du village et du château, repas au restaurant Le Saint-Yves. L’après-midi, visite du fort de la ligne Maginot (environ 2 heures 30).

Le soir, dîner à l'hôtel.

Vendredi 13 mai : promenade dans l’arrière-pays mentonnais, sur les routes du rallye de Monte-Carlo, le col de Castillon, le col de Braus, le fameux col de Turini avec déjeuner au col.
Descente sur le Moulinet, Sospel avec visite du village et de l’écomusée. Retour à Menton.

Samedi 14 mai : journée Grand Prix de Monaco Historique. Départ de Menton en train jusqu'à Monaco.
Repas froid fourni par l’hôtel.

Dimanche 15 mai : fin du séjour après le petit déjeuner.